En Juillet 2015 et après avoir dépoussiéré (et étonné les utilisateurs, dans le bon sens) l’OS Windows (via Windows 10 qui permettait, notamment, de réconcilier l’utilisateur avec le démarrage, surtout post-mise à jour, désormais appliquées, hors cas spécifiques, en quelques minutes et non-plus quelques heures), Microsoft conviait la planète entière à une “nouvelle ère” ou une “ère hybride“, via Windows 11, en Juin 2021. Si bon nombre de fonctionnalités, depuis, continuent toujours de dépoussiérer le logiciel en terme d’interface-UI et de navigation, en revanche, l’accès exclusif ou limité à l’OS (notamment par des pre-requis techniques qui obligent, suivant les configurations ou les budgets, à faire évoluer le terminal là où d’autres OS comme Linux permettent une certaine souplesse, tout distribution confondue) semble, pour l’heure et un peu moins de deux ans après l’annonce officielle, ne pas avoir été une stratégie payante pour cette version améliorée de Windows 10 et reprenant les traits graphiques, en partie, de macOS.
Un point estimé, en chiffre, par StatCounter, qui démontre une évolution, certes, progressive, des PDMs pour Windows 11 mais assez lentes :
- 7,89 %, en Février 2022 ;
- 11,96 %, en Juillet 2022 (point de jonction avec Windows 7 non-plus supporté avec Vista, Microsoft ayant arrêté le support : sans doute les OS auraient perduré avec un support minimal assuré) ;
- 15,45 %, en Octobre 2022 ;
- 19,13 %, en Février 2023.
Les chiffres concernant, cette fois, Windows 10, pour les mêmes périodes :
- 75,47 %, en Février 2022 ;
- 72,22 %, en Juillet 2022 ;
- 71,26 %, en Octobre 2022 ;
- 73,31 %, en Février 2023 (regain des PDMs, depuis Janvier 2023, où l’indice était en très légère baisse : 68,86 %).
Les solutions CPUs Meteor Lake-S Bureau (Intel), sous chipset Z890, compatibles Wi-fi 7 et DDR5-5600+) devraient débouler au second trimestre 2024,
en même temps que Windows 12 (Microsoft), selon TLC leaf_hobby !
(Source : Twitter, via VideoCardz)
Tout comme Windows 8.1, Windows 11 reste relativement timide en terme de démarrage voire de progression (depuis 2021…) du fait essentiellement des limitations techniques de l’OS (là où Windows 10 ne demandait aucun pre-requis techniques). Windows 12, qui devrait débouler, selon les dernières rumeurs et le relais-information via VideoCardz, pour le début de l’année 2024, devrait intégrer encore plus d’IA et d’automatisation ou de contenus sous recommandations, en passant par la télémétrie de données actuellement de base sous Windows 10 (pas d’options OFF). En espérant que Microsoft apprenne de ses erreurs (avec ou sans remontée de PDM : deux ans de lancement donnant environ 20 % de PDMs) et puisse, tout simplement et comme tout les éditeurs, proposer un OS avec des limitations dans l’OS, certes, mais non-plus avant-même de pouvoir y prétendre… A suivre !