Free Mobile : avènement d’un forfait de 80 Go en data pour 8,99 euros par mois, jusqu’à 29 Mars 2022 ! (pendant 1 an…)

Actualités, Business technologique, Le condensé, Téléphonie / Smartphones

Que reste t-il de l’actualité de Free ? En ce moment, quelques rebondissements technologiques : à destination des abonnés Mobile, l’opérateur dégaine une offre à 8,99 euros par mois assez alléchante et prodiguant ainsi quelques 80 Go de données (data)… jusqu’au 29 Mars 2022 !

Ce forfait intègrera, pour la première année :

80 Go de data (France),
Appels illimités (mobile + fixe – France, y compris territoires ultra-marins, hors Mayotte),
SMS-MMS illimités (France, y compris territoires ultra-marins),
Hors France (depuis France + Europe), en illimité : appels, SMS-MMS et data (8 Go – 4G).

Une fois la première année passée, l’abonné Free Mobile basculera automatiquement en forfait Free Mobile 5G (19,99 euros mensuels voire, si abonné Freebox, 15,99 euros par mois), toujours sans engagement, avec 210 Go de data (France métropolitaine uniquement, ici), en plus de 25 Go de data “depuis plus de 70 destinations“. L’abonnement est à souscrire en ligne ou en boutique physique (Free) avec ou sans terminal mobile (smartphone) : l’offre est disponible jusqu’au 29 Mars 2022. A noter que ce forfait n’inclut pas la 5G : pour avoir la connectivité dans le cadre de la lignée Série Free, il faut, d’office, s’orienter sur le forfait à 19,99 euros mensuels ou 15,99 euros mensuels.

En aparté et depuis le 22 Mars 2022, le groupe Iliad a communiqué ses chiffres pour l’exercice 2021 : une progression timide dans l’ensemble du nombre d’abonnés (+236 000 pour la part mobile 4G-5G et VoIP) avec +439 000 abonnés, par rapport à 2020. Les chiffres sont un peu plus nets pour la branche italienne (+1 270 000 M de nouveaux abonnés entre 2020 et 2021) avec un résultat (consolidé) mettant en avant un CA global (groupe) de +29,2 % (7 587 000 M d’euros en 2021) par rapport à 2020 (5 871 000 M d’euros). Concernant le CA pour la part francophone du groupe Illiad, celui-ci réussi à se hisser via un +3,8 % en terme de variation ; c’est encore du côté de l’Italie que les efforts d’investissements et d’équipements sont encore plus francs via un +19 %.

De gauche à droite : à Saint-Clément-de-Rivière et à Bagnères-de-Bigorre (Orange : abandon-projet),

qui ont multiplié les actions citoyennes à l’encontre d’installations d’antennes 4G-5G en cœur d’habitation ou aux environs.

Des chiffres en contraste alors que la population et de nombreux collectifs citoyens tentent d’alerter ou d’interroger l’opinion publique, un peu partout en France notamment, en refusant ou en voulant limiter l’impact sanitaire et géographique (parfois, des contrats avec mairie pour des installations dans les cœurs de villes ou villages, tout comme les éoliennes…) des installations d’antennes 4G voire 5G à Bagnères-de-Bigorre pour le cas d’Orange (abandon au sein des allées Maintenon), à Saint-Clément pour les cas de Bouygues Telecom et Free, ou encore à Etel où les riverains sont parvenus à faire abandonner le projet d’installation d’une antenne 4G-5G sur un toit d’immeuble (Boulevard de Gaulle) : au-delà des effets sanitaires sur les organismes vivants (en plus de l’être humain, la faune et la flore), tout comme les éoliennes (sans évoquer la fuite de poissons lorsqu’installées en haute-mer, ce qui impacte les chalutiers ou pêcheurs locaux), la dénaturation du paysage est au centre des problématiques de ces installations, à l’heure où la connectivité connaît une accélération grandissante en terme de déploiement d’infrastructures et d’équipements (physiques, en partie) dans les villes et campagnes de la planète entière… A suivre !