22 : 09 – Fin d’e-conférence ! un hashtag “toBennuandback” est à disposition sur Twitter pour les questions ou commentaires
22 : 07 – une sorte de “catalogue” de ces échantillons environ “6 mois après” le retour des échantillons sur Terre sera créée pour avoir une première vision d’ensemble de ces échantillons.
22 : 03 – la capsule atterira dans un endroit spécifique de Salt Lake City, en Utah, (2023) via “une série de parachutes”.
22 : 00 – le piroxène (indiqué en vert lumineux dans un communiqué de la NASA) minéral pourrait être un indice qui indiquerait que Bennu faisait partie d’un plus grand asteroïde !
21 : 57 – “nous ne savons pas dans quel ordre les échantillons ont été placés dans le TAGSAM” : il s’agit d’étudier les couches (surface, profondeur) de Bennu : un travail de fourmi qui sera possible lors du retour de l’échantillon sur Terre. Les températures seront aussi à décrypter dans ce sens : quelle partie de l’échantillon correspondra à une couche plus froide de l’astéroïde, par exemple ?
21 : 54 – le “matériel” scientifique qui sera analysé est déjà annoncé comme étant très “friable” ou malléable, volatile. “Quel pièce du puzzle s’imbriquera ?”… un “mystère” à résoudre pour les scientifiques de l’équipe OSIRIS-REx
21 : 52 – les origines de Bennu restent, pour l’heure, un mystère mais les hypothèses résident : entre-autres, Bennu pourrait être le reste d’un asteroïde plus grand, originel. Quant à son âge, là aussi, il faudra patienter d’ici fin 2023 pour répondre à cette question.
21 : 47 – “la mission a collecté des informations phénoménales” : l’opération de prélèvement complétée, d’ici quelques années, avec les analyses sur Terre de l’échantillon, complèteront la réussite de cette mission spatiale.
21 : 40 – la mission a été un véritable défi (absence de gravité ou micro-gravité). Le bras TAG a dû s’enfoncer à 48 cm de profondeur alors que la gravité n’existait pas ce qui suppose, techniquement, de concevoir un bras mécanique capable de résister (avec le retour, par exemple) à la force d’attraction aller puis retour du bras, alors qu’il se retire de la zone de prélèvement.
21 : 34 – OLA est évoqué : il s’agit d’un instrument de mesure chargé d’analyser la surface d’un élement via, notamment la technologie Lidar.
21 : 30 – une question autour de la caméra pour le mappage (OCAMS) : la technologie est “similaire aux machines de vision” comme les voitures de conduite
21 : 28 – questions-réponses sur les annonces de ce soir
21 : 25 – retour sur Terre dès 2023 pour une analyse finale entre 2023 et 2025. La sonde ira sur le départ dès 2021 (manoeuvres).
21 : 23 – “nous avons pas une mesure précise finale de la masse collectée” : cela constituerait “70 %” du volume final.
21 : 21 – “35 particules” sont attendues comme étant identifiables : 2 Kg d’échantillons collectés, au maximum.
21 : 18 – : une vue détaillée de l’intérieur de la sonde qui réceptionne le “TAG” (son socle : la “roue” où réside l’échantillon-même)
21 : 15 – un premier bilan sur cette première partie de mission qui s’est, globalement, déroulé sans accroc avec une collecte réussie et une conservation, pour l’heure, de l’échantillon en lieu sûr
21 : 08 – prochain objectif (sans surprise) pour la NASA : le retour de l’échantillon sur Terre.
21 : 07 – questions-réponses autour de la mission OSIRIS-REx
20 : 50 – comme cela a été communiqué le 28 Octobre dernier, finalement, l’échantillon est sauf et a été encapsulé dans la sonde OSIRIS-REx, dans le compartiment dédié.